François Legault fait une crise pour rien.
On n'a toutes les pouvoirs en immigrations pour choisir des immigrants francophones.

On les as réellement toutes et je vous explique...

Dans les faits, la Coalition Avenir Québec fait un lien entre l'immigration et le déclin du français mais c'est elle qui choisit pourtant la sélection d'immigrant anglophone au Québec.


Dans les faits, le Québec avec la loi 96 pourrait choisir demain de faire entrer 100% d’immigrant économique francophone dans la province (ce qui représente la majorité d'immigrants que le Québec sélectionne et soumet au Canada dans le processus de candidature)Les immigrants économiques.


Selon les estimations actuelles, le nombre d’admissions en 2021 pourrait s’établir entre 43 100 et 47 100 personnes  


Le nombre de personnes immigrantes admises dans la catégorie de l’immigration économique se situerait entre 25 300 et 27 800, soit un volume inférieur à l’objectif fixé dans le Plan d’immigration du Québec pour l’année 2021 (27 500 à 29 300 personnes immigrantes). 


Lorsque on sait que en 2021 la proportion de personnes immigrantes déclarant connaître le français au moment de leur admission devrait se situer autour de 71 %.


Nombre de personne sélectionnée par Québec en 2020 25 695


Le nombre de personnes immigrantes admises dans la catégorie du regroupement familial devrait se situer entre 11 000 et 11 400, soit un niveau supérieur à la fourchette inscrite dans le Plan d’immigration du Québec pour l’année 2021 de 9 700 à 10 200 admissions.



− Travailleuses et travailleurs qualifiés : entre 23 500 et 25 600 admissions, soit un niveau légèrement supérieur à la fourchette planifiée de 22 900 à 24 200 admissions. − Gens d’affaires (programmes des entrepreneurs, des investisseurs et des travailleurs autonomes) : entre 1 800 et 2 100 admissions, soit un nombre inférieur à l’objectif fixé (de 4 000 à 4 300 personnes admises). − Autres catégories économiques : entre 0 et 100 admissions, soit un volume inférieur à la cible planifiée (de 600 à 800 admissions).


Dans la catégorie des personnes réfugiées et en situation semblable, le nombre d’admissions devrait se situer entre 5 500 et 6 300 personnes, soit un niveau inférieur à la fourchette planifiée (de 6 900 à 7 500). La prévision se répartit comme suit : − Personnes réfugiées sélectionnées à l’étranger (personnes réfugiées pris en charge par l’État ou visées par un parrainage collectif) : entre 900 et 1 300 admissions, soit un volume inférieur à celui attendu (entre 4 400 et 4 700 admissions) ; − Personnes réfugiées reconnues sur place : entre 4 600 et 5 000 admissions, soit un niveau supérieur à l’objectif fixé (entre 2 500 et 2 800 admissions).


La part prévue des admissions découlant de la sélection québécoise serait entre 64 % et 65 %. • La part de l’immigration économique devrait se situer autour de 59 % de l’ensemble des admissions.